Quatre ateliers thématiques sont prévus dans le cadre du dialogue citoyen sur le projet Garonne Amont. Le premier d’entre eux a lieu dès ce jeudi 11 avril à 18 heures, à la salle polyvalente de Montesquieu-Volvestre (accès). Ces 2h30 d’échanges portant sur l’eau et l’agriculture constitueront un moment précieux, pour appréhender ensemble cette problématique et contribuer ainsi à la construction collective du projet de territoire Garonne Amont.
Eau et agriculture : des enjeux cruciaux
L’irrigation représente la majeure partie de l’eau consommée sur le bassin Garonne Amont (64%). Cette consommation s’effectue, l’on s’en doute, avec une forte variabilité saisonnière liée aux besoins des plantes au cours de l’année.
L’utilisation de l’eau agricole dans le bassin Garonne Amont se fonde sur trois organismes uniques de gestion collective : l’OUGCOUGC : Institué par la loi sur l'eau et les milieux aquatiques de 2006, l'organisme unique de gestion collective (OUGC) est une structure qui a en charge la gestion et la répartition des volumes d'eau prélevés à usage agricole sur un territoire déterminé. Cet organisme détient de l'autorisation globale de prélèvements pour le compte de l'ensemble des irrigants du périmètre de gestion, et se charge ensuite de répartir les volumes entre les irrigants individuels. « Garonne Amont », l’OUGCOUGC : Institué par la loi sur l'eau et les milieux aquatiques de 2006, l'organisme unique de gestion collective (OUGC) est une structure qui a en charge la gestion et la répartition des volumes d'eau prélevés à usage agricole sur un territoire déterminé. Cet organisme détient de l'autorisation globale de prélèvements pour le compte de l'ensemble des irrigants du périmètre de gestion, et se charge ensuite de répartir les volumes entre les irrigants individuels. « Neste et rivières de Gascogne », et l’OUGCOUGC : Institué par la loi sur l'eau et les milieux aquatiques de 2006, l'organisme unique de gestion collective (OUGC) est une structure qui a en charge la gestion et la répartition des volumes d'eau prélevés à usage agricole sur un territoire déterminé. Cet organisme détient de l'autorisation globale de prélèvements pour le compte de l'ensemble des irrigants du périmètre de gestion, et se charge ensuite de répartir les volumes entre les irrigants individuels. Saint-Martory. Mis en place en 2013, ces OUGCOUGC : Institué par la loi sur l'eau et les milieux aquatiques de 2006, l'organisme unique de gestion collective (OUGC) est une structure qui a en charge la gestion et la répartition des volumes d'eau prélevés à usage agricole sur un territoire déterminé. Cet organisme détient de l'autorisation globale de prélèvements pour le compte de l'ensemble des irrigants du périmètre de gestion, et se charge ensuite de répartir les volumes entre les irrigants individuels. sont notamment chargés de répartir le volume qui leur est alloué entre les différents irrigants individuels. On note que les rivières représentent la principale ressource utilisée pour l’irrigation. Les plans d’eau agricoles sont quant à eux partiellement exploités.
Le changement climatique influence à la fois les besoins en irrigation et les volumes d’eau disponibles : un enjeu crucial, sur ce thème de l’agriculture qui croise également ceux de l’économie, de l’aménagement du territoire et de la biodiversité.
En savoir plus dans l’atlas des enjeux (pages 108 à 117)

Un atelier pour approfondir de multiples questions
Au cours de l’atelier, les participants pourront croiser leurs travaux avec les réflexions menées par le panel citoyen. Les travaux seront conduits par petits groupes de discussions, qui permettront à la fois de recueillir de l’information et de conduire un débat approfondi sous l’angle de plusieurs questions directrices :
- Évolution des pratiques agricoles face aux changements climatiques : quelles pistes pour la pérennité des activités agricoles et la préservation des milieux aquatiques ?
- Irrigation : entre économie des volumes prélevés et augmentation des capacités de stockage, quelles solutions mettre en œuvre ?
- Quelle gouvernance pour définir un partage de l’eau équitable et durable au regard des enjeux ? Quelles sont les conditions de dialogue et de coopération à réunir, y compris en situation de crise ?
Les résultats seront partagés en séance plénière à la fin de l’atelier, puis la séance se conclura par un moment convivial, en l’occurrence un buffet campagnard.
L’inscription
Afin de faciliter leur organisation, l’inscription aux ateliers est conseillée.